jeudi 1 décembre 2011

Ce qu'il reste d'une leçon de géographie....

...avec une carte mentale "express". Après la leçon Habiter les littoraux industriels, les élèves ont dû élaborer une carte mentale sur ce qu'ils avaient retenu en un minimum de temps, mais à leur rythme.

Le but n'était pas de construire une carte très élaborée au niveau du dessin et de la couleur mais de donner la priorité à l'organisation et aux mots clés. Aller à l'essentiel avec un minimum de moyens.
Les cartes ci-dessous montrent qu'une carte mentale efficace n'est pas obligatoirement dense et fournie, elle peut donc être très rapide à construire une fois que l'on maîtrise la technique.
Cela permet à l'enseignant de voir ce qui a été assimilé correctement ou non, ce qu'il reste d'une heure trente de leçon à partir d'une étude de cas du port de Nagoya. C'est un outil de feedback facile à mettre en oeuvre, qui permet de varier la façon d'évaluer connaissances et compétences.





Il est à noter que bien qu'ayant stipulé que l'on pouvait déroger aux grands principes de construction des cartes mentales,  la grande majorité des élèves ont tout de même utiliser la couleurs et pour certains des illustrations, alors que la contrainte de temps était forte. Cela prouve qu'après quelques mois de pratique la technique d'élaboration est bien ancrée et devient un système d'écriture naturel.

Lucas Gruez, Décembre 2011

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